Voilà un métier qui ne risque pas de disparaître des rues de Khartoum ; pour une vingtaine de livres soudanaises, les laveurs de voiture redonnent une nouvelle jeunesse aux véhicules maculés de poussière.
Et quand passe le haboob, cette tempête qui change l’atmosphère en brouillard de sable rouge, il devient plus qu’indispensable de faire appel à leur service.