Sitôt quitté la frénétique Khartoum, on découvre l’immensité du Sahara. Ici serpente le Nil, qui maintient la vie au milieu de l’océan de poussière. Partout le long de ses rives, on cultive au rythme des pompes à eau antédiluviennes.
Et chacun de s’enquérir de la santé des autres:
– Kaif tamam ? ( tout va bien ? )
– Tamam alḥamdulillah (tout va bien grâce à Dieu).