On promet l’enfer à toute personne osant se mesurer à l’administration italienne. Et il faut bien dire que la première impression à de quoi décourager : une longue file débouchant sur un unique guichet, une salle d’attente gigantesque et bondée, on s’imagine déjà y passer une dizaine d’heures.
En fin de compte, tout fut régler en une demi-heure bien sonnée, le temps de croquer quelques portraits rapides.