Ce dimanche-là, un couple de Cubains bien intentionnés nous a guidé jusqu’à la ruelle Callejón de Hamel où les délires colorés du plasticien Salvador Gonzales recouvrent les murs.
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Ce dimanche-là, un couple de Cubains bien intentionnés nous a guidé jusqu’à la ruelle Callejón de Hamel où les délires colorés du plasticien Salvador Gonzales recouvrent les murs.